Que sont mes rêves devenus
Au fil des ans ils se sont perdus
Ne restent plus que quelques souvenirs
Qui dans l’espace temps se diluent
Maintenant je rêve pour mes enfants
Perturbés par leur avenir en ce moment
Pour l’instant ils sont heureux chez papa
Je crois qu’ils vont y rester longtemps
Et après quand je serai parti
Car je ne vivrai pas à l’infini
« Vogue la galère pourvu qu’elle flotte »
J’emporterai mes rêves dans l’autre Vie
JR
Du coq à l’âne :
Spleen baudelairien :
« Enivrez-vous sans cesse !
De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. »
Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal.
Le Troll aime beaucoup Charles, surtout quand il voit deux bouteilles alors qu’il n’y en a qu’une !
Aïe ! Le Minus a frappé !
Bien lire « sans » au lieu de « sens ». Merci.
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J’ai corrigé mais c’était un joli lapsus. Le Minus et le Troll sont-ils de mèche? J’espère que non.
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Oui, Pierrette. J’ai failli ne rien dire, trouvant, comme vous, le lapsus joli. Mais Charles n’y a pas pensé ! Comme quoi les grands esprits ont parfois des lacunes ! Tout est donc remis dans l’ordre.
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