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J’observe mes frères humains
Qui travaillent de leurs deux mains ;
Qu’on m’impose une telle astreinte,
Vois-tu, ce n’est pas pour demain.*
Je vis sur un site romain,
C’est là que je suis le chemin
De l’existence qui m’éreinte…
Lors je pleure comme un gamin.
Pierrette