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De cette belle noix, secouons la cuirasse
Qui son petit trésor farouchement défend ;
Moins ça bouge dedans, plus c’est apostrophant,
Alors ne restons pas plus longtemps dans l’impasse.
Or ce n’est pas avec le coupe-paperasse,
Ni le marteau brutal, ni l’instrument griffant,
Que le plus justement cette coque se fend ;
Préservons à tout prix la quintessence grasse !
Un craquement parfait, voici les zestes bruns,
Puis les cerneaux brillants, à leur place chacun ;
Les dégager entiers, ce jeu-là sait nous plaire,
Pour la joie précise où, d’un petit crâne, sort
L’ambicerveau noble aux quatre hémisphères d’or,
Bientôt broyé sous de reptiliennes molaires.
Noooon
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Siiiiiii Soeur Pierrette, vous avez bien lu: pas avec le marteau!
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J’ai peurrrrr des noix!
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Je suis désolée. J’étais moi-même horrifiée en écrivant ce sonnet, sans pouvoir faire autrement.
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Contrôle-toi Ada , contrôle-toi!
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Je ne puis. Il est bien plus simple d’arrêter de fumer !
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Arrrg!
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