Un petit chat prit pour nourrice
(Et ce ne fut pas un caprice)
La douce Margoton.
Et les habitants du village
Venant admirer son corsage
Devinrent fous, dit-on.
Mais les épouses et les vierges,
Les mégères et les concierges
Tuèrent le chaton ;
Brassens en a fait un poème,
Une courte chanson dont j’aime
La saveur et le ton.